Allons, ce ciel noir que tu me présentais ce soir,
ce n'était pas sérieux.
Il était trop sombre, trop plein de désespoir,
pour que j'y porte mes yeux
As-tu chassé ces nuages menaçants ?
ceux colorés d'un teint inquiétant
Il le faut, mon ami
Ce printemps me semble trop impressionniste
pour que nous portions
attention
à nos émotions
Même s'il ne reste qu'un soleil,
il faut s'y raccrocher
Et se souvenir que dans nos mémoires, la pluie peut être belle.
Elle est une promesse d’éclaircie
Marc Quémard, Lettre à un ami
Un espoir de jours bleus.
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