Je me souviens de la mort de Roland un très jeune gens.
Des jeunes gens morts il y en a tant. Même vivants.
Qui comme Roland meurent de leurs propres efforts dans le temps.
Et moi comme voyou de mille ans je dois faire un effort pour déménager dans le temps.
Rappeler Roland parmi les cœurs saignants de ces jeunes gens.
Qui dans la lutte et les combats sont perdants.
Et dire avec eux les malheureux : Oh se battre rend heureux
même si la défaite est totale.
Connaissez-vous les morts des champs ?
Tous ceux qui ont poussé et ont pourri dans le temps.
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