Elles disent les maturations
les cycles et les heures
Elles disent l’invisible
L’ocre convient aux dieux
Les derniers rais d’un soleil qui décline
attisent la braise du mélèze
Ocres de l’automne
Flamboiement aux frondaisons de septembre finissant
Labours en robe de bure
qu’encense un vol fuliginieux de passereaux
J’aimerais mon âme en un jardin d’automne
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